Saturday, July 30, 2011

Ebook Gratuit Alésia : Fin août-début octobre de 52 avant J-C, by Yann Le Bohec

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Alésia : Fin août-début octobre de 52 avant J-C, by Yann Le Bohec

Détails sur le produit

Broché: 222 pages

Editeur : Editions Tallandier (27 septembre 2012)

Collection : L'histoire en batailles

Langue : Français

ISBN-10: 2847348441

ISBN-13: 978-2847348446

Dimensions du produit:

20 x 1,8 x 13 cm

Moyenne des commentaires client :

3.5 étoiles sur 5

5 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

456.989 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Dans cet ouvrage consacré à Alésia et à la défaite de Vercingétorix, Yann Le Bohec défend une thèse qui est remarquablement argumenté en faveur de la localisation du site de la bataille (ou plutôt du siège) en côte d’or : bien sûr Le Bohec évoque les travaux archéologique qui furent conduits à la demande de Napoléon III, mais pas seulement puisqu’il est question de travaux conduits entre 1991 et 1997 et publiés par l’Académie des Inscriptions. Contrairement aux affirmations de certains cuistres qui affirment que l’ouvrage de Le Bohec est un tissu d’âneries il convient de préciser, ce qui est d’ailleurs fait en page 108 que la thèse jurassienne de l’emplacement d’Alésia a été fragilisée ou même anéantie par deux rapports rédigés par des experts à la demande même de l’association « Archéo JuraSites » : des travaux de fouilles considérable conduits à la Chaux des Crotenay près du village de Syam Cornu ont livré un abondant matériel sous forme de 3000 objets métalliques et de 5000 tessons de céramique. La datation des éléments métalliques montre que ceux-ci ne sont pas antérieurs au IIème siècle de notre ère et qu’il n’a été retrouvé aucune arme, la terre cuite attribuable à l’époque du siège ne représente que 2,6% du total : la conclusion est donc que le site a été occupé au Moyen-Age par une population pacifique.Par ailleurs le chapitre VI « La Côte d’Or ou le Jura » est très bien rédigé et fort bien argumenté, on ne dénote aucune malhonnêteté intellectuelle, dont d’ailleurs on pourrait s’interroger sur la nature ; Le Bohec montre bien qu’il connaît la problématique et ajoute avec humour qu’il n’est en rien favorable à Napoléon III, ce qui mettra les lecteurs de bonne foi de son côtés : par ailleurs plus sérieusement il est examiné en détail le résultat des fouilles de cette époque, avec une critique de leurs erreurs avec le recours aux travaux des équipes dirigées par Michel Reddé et Sigmar von Schnurbein, avec 600 armes difficiles à exploiter, mais sont complétés par des pièces de monnaie romaine, 164 pièces ont aucune n’est postérieure à l’année 54 avant JC, quant aux 731 pièces gauloises elles appartenaient aux peuples ayant participé à la bataille et non à l’armée de secours : l’ensemble est probant et penche favorablement en faveur du site d’Alise Sainte Reine. Le Bohec ne cache pas que le procédé d’imagerie LIDAR a mis en évidence des structures enterrés sur le site jurassien, en revanche il conteste que les fouilles y aient été interdites, il dresse en page 107 la liste des éléments archéologiques ou militaires qui seraient à démontrer pour valider la thèse jurassienne et au terme d’un débat contradictoire honnête il opte pour un choix qu’il expose clairement « il vaut mieux suivre pour l’instant et jusqu’à preuve du contraire l’avis de la majorité des chercheurs : l’Alésia de la guerre des Gaules correspond à Alise Sainte Reine qui se trouve dans la Côte d’Or en Bourgogne ». En page 110 et 111 on dispose de deux schémas comparatifs qui montrent les points de convergence et de divergence entre les fouilles entreprises sous Napoléon III et les travaux de Michel Reddé et Sigmar von Schnurbein, avec à la suite une excellente photographie aérienne, très parlante, prise par René Goguey : dans les critiques méprisantes et méprisable de l’ouvrage de Le Bohec ces éléments ne sont mis à mal par aucun des contradicteurs qui se bornent à dénigrer l’ouvrage de manière globale.Certaines insinuations vont même jusqu’à mettre en cause l’expertise militaire reconnue par tous de l’auteur dans son analyse de la bataille d’Alésia : hors la lecture de l’ouvrage démontre que tous les éléments classiques qui ont fait le succès des travaux de Yann Le Bohec sont présents dans le livre : certes ils sont moins développés que pour d’autres ouvrages plus long, mais Le Bohec ne gonfle pas de manière inutile un exposé sur une question très pointue pour laquelle le récit de César est la seule véritable source, et dans la Guerre des Gaules, le siège d’Alésia reçoit un traitement finalement assez bref, donc autant ne pas bâtir un roman de fiction comme le fait un peu Camille Julian dans son remarquable Vercingétorix, que j’aime beaucoup par ailleurs, mais qui demeure une sorte d’OVNI scientifique…La personnalité de César est assez largement évoquée ainsi que ses motivations pas forcément claires à vouloir conduire des opérations militaires en Gaule au-delà de la province qui lui a été confiée comme proconsul et des divers ruses et expédients dont il usera et abusera pour parvenir à ses fins dans le cadre politique plus global de la lutte des factions politiques romaines des Optimates et des Populares.La puissance formidable de l’armée romaine est très correctement restituée et rend la lecture de l’ouvrage autoporteur pour un néophyte, sachant que pour des lecteurs plus pointus il existe des ouvrages plus complexes de Le Bohec lui-même, sans compter un ouvrage de très bonne facture de Pierre Cosme, malheureusement très proche du manuel universitaire qu’il est et qui tend à en rendre la lecture fastidieuse pour un public de spécialistes.Les forces et faiblesses de l’armée gauloise sont bien restituées, et de manière honnête, les connaissances des gaulois en poliorcétique sont bien précisées avec le fameux Murus Gallicus qui fit l’admiration de César (en page 113), mais aussi la Maceria, sur ce point la conclusion de Le Bohec est très raisonnable, les Gaulois n’étaient point des barbares dans le domaines de la poliorcétique : mais leur armée ne pouvait vaincre les Romains ni en rase campagne ni dans une guerre de fortifications.L’étude des moyens déployés par les Romains en matière de poliorcétique est très complète et reprend globalement un schéma classique déjà bien connu par tous les lecteurs de Le Bohec : défense linéaire intérieure et défense linéaire extérieure avec la construction de camps.La stratégie de Vercingétorix qui constitua en une politique de la terre brûlée causa u certain désagrément aux Romains, mais elle en causa au moins autant aux Gaulois, et l’idée de prendre en tenaille le dispositif militaire romain au moyen d’une sortie conjuguée des forces gauloises présentes à l’intérieur d’Alésia et du recours à une puissante armée de réserve se révéla sans issue face à la supériorité technique des légions de Rome.Le Bohec estime que Vercingétorix ne manqua point de grandeur dans sa conduite des opérations militaires et encore moins dans sa reddition à César, puisqu’il ne pouvait guère attendre de mansuétude de ce dernier compte tenu de la violation des règles de l’amicitia et tout se terminera très mal pour lui lors du triomphe de César à Rome. Néanmoins, Jules César décidera de clore la bataille d’Alésia en rendant leur liberté aux Arvernes et aux Eduens (en dépit de la trahison de ces derniers) : qui en profitèrent pour envoyer des ambassadeurs, reconnurent leur défaite et livrèrent des otages. Les autres Gaulois du Mont Auxois furent livrés comme esclaves aux légionnaires.On notera que Yann Le Bohec utilise à plusieurs reprises, les travaux de John Keegan, notamment ceux découlant de l’anatomie de la bataille, avec le rôle de la peur chez les combattants et discute aussi du concept de « bataille décisive » que l’on doit à JFC Fuller. Parmi les motivations des légionnaires Romains, le Bohec rajoute à juste titre la part du butin.Donc globalement un ouvrage de très bonne tenue, dont je recommande la lecture aux lecteurs intéressés qui pourront ainsi, pour une somme modique se faire par eux-mêmes une idée des qualités et des défauts présumés de l’argumentation. Je rappelle en outre que la contestation scientifique d’un ouvrage se fait dans des articles de doctrine, dans des revues historiques spécialisées et non dans des post lapidaires sur un site de vente par Internet. Mon objectif est seulement d’éclairer de manière objective le choix du lecteur cultivé qui ne se prononce pas par des anathèmes marxistes ou par esprit de système…

« Alésia, 52 av. J.-C. » de Yann le Bohec est un ouvrage plutôt décevant, au regard de la qualité habituelle des publications de cet auteur de renom. Alors que l'ouvrage est annoncé comme une « expertise définitive » et surtout comme l'analyse d'un spécialiste d'histoire militaire, mettant en avant les questions tactiques et stratégiques, il se révèle bien plus classique et ne tient finalement pas toutes ses promesses.Pour ce qui est du récit de la bataille, Yann le Bohec se concentre avec raison sur les 4 batailles qui ont décidé du sort de l'affrontement. Pour lui, les travaux de fortification entrepris par César lui ont permis de ne pas perdre, mais ce sont les 4 batailles successives autour de l'oppidum qui lui ont procuré une victoire définitive. Après une présentation générale des armées et des combattants, de leurs équipements, de leur organisation et de leurs motivations, le texte consacré aux combats d'Alésia est néanmoins très bref : citation du texte de César et rapide explication de texte.Sur la question de la localisation du site, Le Bohec renvoie aux nombreux ouvrages sur le sujet (cités en bibliographie), avec un certain recul et une louable préoccupation d'apaisement, affirmant de son côté qu'il est « raisonnable » de considérer qu'Alésia et Alise Sainte Reine ne font qu'un. Là encore l'auteur reprend des analyses existantes et les commente rapidement. Il n'y a qu'un seul argument vraiment original dans son propos : si Alésia se trouvait dans le Jura, Vercingétorix se serait « coupé de ses bases » en s'y installant (mais là encore l'affirmation ne donne pas lieu à explications). Sur les effectifs, Le Bohec propose de les considérer avec méfiance mais sans donner un avis vraiment tranché sur la question. Ses réserves sur le nombre de légions de César (« durant la Guerre des Gaules, César disposa d'effectifs mal connus, il s'est efforcé de cacher le nombre exact de ses unités, pour faire croire qu'il combattait toujours en position d'infériorité numérique », page 43), prolongeant de la thèse de Rambaud sur la désinformation systématique qu'aurait pratiquée César, est assez étonnant : si les effectifs gaulois sont sujets à beaucoup d'interrogations, le nombre total des légions romaines ne fait pas grand mystère, les affectations, les prêts de légions de la part de Pompée ou les nouveaux recrutements sont en effet plutôt bien connus).Globalement, le livre est bien écrit, bien construit et surtout très bien documenté (notes, bibliographie, références) et il constitue une excellente synthèse des recherches historiques et archéologiques sur Alésia. Il est à louer pour cela. Sa partie « histoire militaire » est, à l'inverse, décevante, notamment du fait d'un récurrent d'explications, autres que générales. Le Bohec assène ses arguments plus qu'il n'en développe la logique : on apprend finalement peu de choses sur les spécificités de la campagne de -52, les manœuvres qui ont précédé Alésia, les itinéraires et les choix tactiques ou stratégiques des deux adversaires.

J'aime car il laisse le choix aux lecteurs de se faire leur opinion.

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